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6 juillet 2011 3 06 /07 /juillet /2011 11:39

collision bus et titanJournée noire hier mardi 5 juillet 2011 dans la commune de Gogounou. Une collision entre un bus de transport nigérien et un camion poids lourd, a fait 18 décès et 37 blessés graves. Ce bilan pourrait s’alourdir.

La route a encore tué ce mardi 5 juillet 2011 dans la commune de Gogounou. Un bus de transport en commun de la compagnie nigérienne (Rimbo) immatriculé 8G 6580 RN en provenance de Parakou pour le Niger, est entré en collision avec un camion poids lourd immatriculé AC 5174 RB qui se rendait à Parakou après avoir quitté Kandi. Le bilan provisoire de l’accident est de 18 morts dont 4 enfants, de 37 blessés graves et d’autres cas moins graves. Les survivants suivent en ce moment des soins intensifs à l’Hôpital de zone de Kandi. Selon les informations recoupées ça et là par téléphone, le bilan pourrait s’alourdir au fil des heures, au regard de l’état de santé de certains survivants. L’accident est survenu au niveau du village de Gamagou-Paris, arrondissement de Sori dans la commune de Gogounou. Aux dires de certains témoins, c’est un excès de vitesse et un mauvais dépassement qui ont occasionné ce choc. Selon eux, le conducteur du bus tentait une manœuvre de dépassement en troisième position, lorsqu’il s’est retrouvé nez à nez avec le camion. C’est ainsi que le pire est arrivé. Le choc était si violent que les moteurs des deux véhicules sont entièrement irrécupérables. Seule la remorque du véhicule poids lourd pourrait être récupérée.

Jean-Claude Kouagou / Actu Bénin

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6 juillet 2011 3 06 /07 /juillet /2011 09:45

Bebe.jpgLa scène s’est produite dans le quartier Hounvè-Gbéta dans une maison qui fait face à l’Eglise méthodiste protestante à 150 m du Ceg1 d’Adjarra dans le 1er arrondissement. L’incident est survenu au cours de la journée de ce mardi 05 juillet 2011. Selon les riverains de la maison où le drame s’est produit, la maman de l’enfant qui marchait à peine faisait la lessive au moment où ce dernier est allé dans le WC à ciel ouvert. Toujours selon les témoins, la maman n’avait pas su que son enfant se dirigeait vers ce lieu dangereux. Ce sont les pleurs de l’enfant qui ont réveillé l’attention de cette dame qui après quelques recherches a pu le localiser. L’enfant était déjà enfoncé dans cette boue de vidange. Grâce à la promptitude des voisins du quartier qui ont été alerté par les cris de la dame, l’enfant a été sorti de la latrine 30 minutes plus tard. Miraculeusement, le bébé n’avait aucune blessure et apparemment se portait bien. Après les premiers soins, il a été conduit à l’hôpital.
Léonel EBO / Quotidien le Matin

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4 juillet 2011 1 04 /07 /juillet /2011 10:02

Jean-Houngbo.jpgJean-Christophe Houngbo, directeur Régional Ouémé-Plateau du Matinal, a été retrouvé inconscient dans sa nouvelle maison après 48 heures de recherches. Sa femme enceinte de 8 mois et son petit garçon de moins de 2 ans retrouvés sans vie à côté de lui sur le lit de même que la servante (une nièce à sa femme) couchée sans vie sur la natte. Actuellement Christophe Houngbo toujours dans le coma après 24h de soins intensifs au CHD-Ouémé-Plateau a été transféré au CNHU. Les analyses n’ont pas encore permis de déterminer les causes du drame et l’autopsie des corps n’est pas encore effectuées. Union de primaire pour lui....

A.A / Aube Nouvelle

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4 juillet 2011 1 04 /07 /juillet /2011 09:59

foudreUne dame et ses quatre enfants sont morts samedi dans la soirée, foudroyés à Soclogbo dans la commune de Dassa plus précisément dans la ferme Dobo.

Le drame est survenu sous une pluie diluvienne alors que les victimes étaient dans leur champ. D’après Lambert Ahoya, un des rescapés, ils étaient au nombre de huit dans la cabane sous laquelle ils s’abritaient quand il s’est subitement vu projeté après un éclair suivi de grondements du tonnerre. Il tombe évanoui et découvre à son réveil que sa fille et ses quatre petits enfants ont été foudroyés. La dame serait l’épouse d’un maçon polygame. Des villageois ont témoigné que ce dernier n’était pas en bons termes avec la victime depuis qu’il a décidé de prendre une quatrième épouse.

Aube Nouvelle

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4 juillet 2011 1 04 /07 /juillet /2011 09:54

Crime-Crapuleux.jpgUn triple crime crapuleux a été commis vendredi soir à Bogoun et N’vènamèdé, des hameaux du village Agao dans l’arrondissement de Soclogbo - commune de Dassa. Trois personnes âgées ont été décapitées par des inconnus.

63 ans et 82 ans pour deux des victimes qui sont des hommes et 85 ans pour la femme. Ils ont tous été tués à la machette. D’après le commandant de la brigade de gendarmerie de Dassa, l’adjudant-chef Gaston Hounkpatin, les raisons du crime ne sont pas connues et les auteurs sont recherchés. Une enquête a donc été ouverte, a-t-il indiqué, pour élucider les circonstances de ce carnage. Cependant, d’après une source indépendante qui a requis l’anonymat, les victimes de cet acte crapuleux seraient soupçonnées d’appartenir à un cercle mystique de malfaiteurs. Cette même source n’exclut pas l’idée d’une élimination physique secrètement planifiée par des habitants de la localité pour en finir avec un club de présumés sorciers. L’état dans lequel se trouvaient les cadavres ne permettant pas leur dépôt à la morgue, le procureur de la République, apprend-t-on, a autorisé leur remise aux différents parents pour l’inhumation.

Francis-Hervé Sanoussi / Aube Nouvelle

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1 juillet 2011 5 01 /07 /juillet /2011 11:07

malade-mental.jpgUn fou a troublé le recueillement des parents et amis d’un défunt samedi dernier au quartier Bètou à Dassa-Zoumè. C’était au cours d’une veillée de prière corps présent à laquelle il prenait aussi part lui-même.

Au cours de la veillée de prière qui a eu lieu samedi dernier au quartier Bètou dans la ville de Dassa-Zoumè, département des Collines, un fou a causé par ses agissements, une grande stupéfaction. Alors que la veillée allait à son terme et la famille du défunt servait déjà les tasses de café chaud aux participants, un fou qui a lui aussi pris part à cette veillée dans son coin a été servi. Il a reçu sa tasse de café chaud comme tous les autres. Mais contre toute attente, ce déréglé mental, au lieu de rester sur place comme tout le monde et vider sa tasse s’est dirigé vers le cercueil et s’adressa ainsi au défunt : « Hé toi, lèves-toi, tient, cette eau chaude est servie à tout le monde ici ce soir, va donc prendre ta part ». Comme le mort ne réagissait pas, il a poursuivi en disant : « Prends garde, car si tu ne sais pas faire, tu risques de rater une bonne occasion, car il y a trop de bousculade. D’ailleurs, je ne sais pas ce que tu as depuis hier et tu es couché là et tu ne veux pas te lever pour faire quelque chose ». Toujours sans réaction, le fou s’est mis à menacer la dépouille mortelle. « Attends, j’arrive pour toi. Quand j’aurai cherché maintenant mon bâton je vais voir si tu auras encore la même attitude envers moi », a-t-il laissé entendre en quittant aussitôt les lieux. Quelques minutes après, il réapparaît avec un gros bâton en main et se dirigeait vers le corps. Mais il sera interrompu dans son mouvement par un homme qui est allé à sa rencontre pour essayer de l’en dissuader.

Justin EDIKOU / Quotidien Le Matin

 

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30 juin 2011 4 30 /06 /juin /2011 07:03

Couple.jpgQuand un garçon plaît à une fille, le plus simple serait qu'elle aille lui parler. Mais dans la réalité, c'est un peu plus compliqué. Et la tradition voudrait que ce soit l'homme qui fasse le premier pas. Mais dans bien d'autres cas, certaines femmes jettent le masque de la timidité et vont au front. Cette audace renferme bien des avantages que des inconvénients.

Les avantages

Vous pouvez choisir vous même votre mec.

Parfois, vous vous laissez porter par le courant. Aucun des hommes autour de vous ne vous a particulièrement séduite, alors vous attendez de voir ce qui se passe, vous les laissez se manifester. Mais quand vous avez eu un coup de foudre, pourquoi attendre ? Pour une fois, vous avez la possibilité de prendre le contrôle de votre vie sentimentale. Vous avez choisi un homme parmi les autres, n'hésitez pas à le lui faire savoir.

Vous accélérez les choses

Ce mec est mignon, il vous plaît et vous sentez bien que vous lui plaisez aussi mais il tarde à vous inviter à dîner. Comme la majorité des hommes sur cette planète, il a du mal à prendre des décisions. Et c'est encore plus vrai quand il s'agit de relations amoureuses. Ils ont tout le temps peur de se faire honnir. En l'invitant vous-même à dîner, vous évitez d'attendre un mois pour que monsieur se décide à faire le premier pas.

Les hommes aiment les femmes entreprenantes

C'est connu, les hommes aiment bien qu'une fille prenne les devants, qu'elle se montre entreprenante et ouverte. Et puis, si une femme est assez libérée pour aller draguer elle-même, ils pensent qu'elle sera au moins autant entreprenante au lit.

Vous n'êtes pas prise au dépourvu

En faisant le premier pas, vous vous accordez le luxe de tout choisir. Vous choisissez l'homme, le lieu et le moment. Comme ça, vous avez eu le temps de réfléchir à votre plan d'attaque, à la lingerie que vous allez porter. Finies donc les soirées où vous finissez par repousser les avances d'un beau garçon juste pour un problème; en plus vous ne vous faites pas piquer votre mec.

Les inconvénients
Vous allez passer pour une allumeuse.

On a beau dire que les filles draguent, ce n'est pas encore complètement rentré dans les mœurs. Ou plus exactement, la société a compris l'idée mais un peu de travers. Et une fille qui fait le premier pas reste une allumeuse. Donc, oui les hommes vous accueilleront sans doute avec un sourire carnassier, mais êtes-vous bien sûre d'être prête à endosser ce rôle ?

Vous avez plus de chance de vous tromper 

Quand un homme vient vous draguer, vous avez tout le loisir de lui faire passer tous les tests que vous voulez. Vous pouvez l'interroger sur ses goûts, sur ses envies et vérifier votre degré de comptabilité. Si c'est vous qui faites le premier pas, quand vous vous rendrez compte que c'est un idiot, il sera déjà trop tard. 

Makeba Tchibozo
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29 juin 2011 3 29 /06 /juin /2011 10:15
Coup-de-poing.jpgUne dispute entre couple a tourné au drame samedi dernier à Akpakpa Dodomé. Un mari d’origine nigériane (Ibo) a battu à mort sa femme dans la nuit de samedi à dimanche. Tombée en syncope, la dame de nationalité togolaise qui lui a fait trois enfants dont un bébé de trois mois, a succombé à ses blessures.

Selon les informations recueillies sur le terrain, cet homme a l’habitude de frapper sa femme. Les mêmes sources indiquent que le mari de la victime n’arrive pas à subvenir aux besoins de la dame. Mais malgré cela, la dame lui fait trois enfants dont un bébé de trois.
La nuit de samedi à dimanche, les voisins ont été alertés par les cris de la dame que le mari battait à coups de poings. Arrivés sur les lieux, ils ont constaté que la dame était tombée en syncope. Mais, elle a été évacuée dans une église du quartier. Malgré les prières, elle a rendu l’âme.
Le mari, informé de la situation demande à ceux  qui ont secouru la dame de ramener son corps à la maison. Après l’arrivée du corps, il disparait de la maison. Informé, le chef quartier d’Akpakpa Dodomé arrive sur les lieux et découvre le corps par terre à l’entrée de la maison. Sur instruction du chef quartier, le corps fut déposé à la morgue de l’Homel.
Aux dernières nouvelles, les parents de la victime sont déjà à Cotonou pour ramener le corps au Togo pour les cérémonies funéraires.
Dieudonné Koami A.DANCHIGBE / Quotidien Le Matin

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