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12 avril 2011 2 12 /04 /avril /2011 10:19

femme enceinteJ. D. est un jeune marié et père d’enfants. Trentenaire, il est un opérateur économique qui s’est donné pour mission de monter à la poitrine de toutes les femmes. Puisque la nature lui a permis de tenir régulièrement en main des millions, il est devenu un pervers et porte le sobriquet « tout trou est trou ». Ainsi un jour, le Don Juan rencontre sur son chemin une dame pour qui il a un béguin. Âgée de plus de 40 ans, celle-ci est célibataire et mère de 4 enfants dont deux jeunes filles. Une, étudiante et l’autre élève en 1ère. Cette dernière étant une blessée de guerre cherchant une assistance sentimentale, a accepté suivre sa queue. L’aventure ayant démarré, J. D. est devenu son pointeur principal. Il l’enceinta. La grossesse étant non désirée, dame T. décida de l’avorter. Mais, le dévergondé s’y oppose parce qu’il est contre cette pratique. Cette situation l’amèna à presque élire domicile chez sa dulcinée. D’où il constata que cette dame a également de “bons produits comestibles“. Il devint très gentil et doux que jamais avec les jeunes filles bien taillées.

Il commença à leurs jours de repos, à les amener dans des salons de glace, dans des boites de nuits et autres lieux de distractions. Ceci, tout en convaincant leur maman qui est sa dulcinée, à donner son assentiment. Puisqu’il ne rate jamais sa cible, le Don Juan démarra incognito une relation amoureuse avec ses jeunes donzelles. Trouvant régulièrement quelques billets de banque et la satisfaction des intestins, ces sœurs commencèrent rapidement par écarter les cuisses pour J. D. qui y met aussi ses couilles. N’ayant pas ce temps de contrôler quoi que ce soit, très tôt, il met en état de grossesse cette élève âgée de 18 ans et, lui demanda d’être taciturne. En ce moment, la grossesse avait déjà trois mois.

Deux mois plus tard, c’est le tour de l’étudiante qui est mise dans la même barque que sa sœur et sa mère. Alors qu’à cet instant, leur maman gardait une grossesse de 8 mois. Jusque là, ni la mère ni les deux sœurs ne savaient pas que c’est le même phallus qui les gère, les nourrit sur le plan de l’amour et les engrosse. Il a fallu le déclenchement des maladies chez l’étudiante qui a un organisme très faible, pour que la vérité s’éclate. Les deux sœurs ont avoué à leur mère que c’est son amant l’auteur de leur grossesse. Après avoir créé cet embrouillamini, le pervers J. D. affectueusement appelé “T au cube“ c’est-à-dire « tout trou est trou » a réuni cette famille dont il s’est baladé entre les cuisse, pour leur signifier qu’il ne peut pas la lâcher. Certainement qu’il sait ce qu’il trouve dans ces “jupons“.

Hugues AHO / Nouvelles Mutations

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12 avril 2011 2 12 /04 /avril /2011 09:33

 Mariage.jpgOn ne sait pour quelle raison mais deux jeunes futurs mariés ne se sont pas présentés pendant près de la moitié du temps qu’a duré leur messe de mariage qui a eu lieu samedi dernier sur la paroisse catholique de Ste Rita de Cotonou. La messe de mariage prévue pour commencer à dix-sept (17) heures ce samedi en l’église catholique Ste Rita de Cotonou, messe au cours de laquelle devrait intervenir la bénédiction nuptiale de ce jeune couple, a bel et bien eu lieu à l’heure indiquée. Et pour cause, le célébrant de ces noces n’aurait pas attendu l’arrivée des futurs époux qui se sont montrés de grands retardataires, avant de commencer cet office religieux. Or, selon les pratiques de cette communauté chrétienne, les futurs mariés sont accueillis à leur arrivée avant le début de la messe sur le parvis de l’église pour une brève bénédiction d’entrée. Expliquant ce contre temps désagréable, des proches de ces jeunes époux qui se sont présentés après l’homélie du célébrant, ont expliqué que ces derniers seraient entrain de célébrer le mariage civil à la mairie. Certains par contre pensent que les mariés ne s’entendaient pas sur les enjeux de leur union du moment et affirment que le marié serait un chrétien catholique alors que la mariée, elle, est une musulmane. Nonobstant ce grand retard constaté des mariés, la cérémonie s’est bien déroulée et est allée à son terme.

Justin EDIKOU / Quotidien Le Matin

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11 avril 2011 1 11 /04 /avril /2011 14:59

femme-enceinte.jpgJ. D. est un jeune marié et père d’enfants. Trentenaire, il est un opérateur économique qui s’est donné pour mission de monter à la poitrine de toutes les femmes. Puisque la nature lui a permis de tenir régulièrement en main des millions, il est devenu un pervers et porte le sobriquet « tout trou est trou ». Ainsi un jour, le Don Juan rencontre sur son chemin une dame pour qui il a un béguin. Âgée de plus de 40 ans, celle-ci est célibataire et mère de 4 enfants dont deux jeunes filles. Une, étudiante et l’autre élève en 1ère. Cette dernière étant une blessée de guerre cherchant une assistance sentimentale, a accepté suivre sa queue. L’aventure ayant démarré, J. D. est devenu son pointeur principal. Il l’enceinta. La grossesse étant non désirée, dame T. décida de l’avorter. Mais, le dévergondé s’y oppose parce qu’il est contre cette pratique. Cette situation l’amèna à presque élire domicile chez sa dulcinée. D’où il constata que cette dame a également de “bons produits comestibles“. Il devint très gentil et doux que jamais avec les jeunes filles bien taillées.

Il commença à leurs jours de repos, à les amener dans des salons de glace, dans des boites de nuits et autres lieux de distractions. Ceci, tout en convaincant leur maman qui est sa dulcinée, à donner son assentiment. Puisqu’il ne rate jamais sa cible, le Don Juan démarra incognito une relation amoureuse avec ses jeunes donzelles. Trouvant régulièrement quelques billets de banque et la satisfaction des intestins, ces sœurs commencèrent rapidement par écarter les cuisses pour J. D. qui y met aussi ses couilles. N’ayant pas ce temps de contrôler quoi que ce soit, très tôt, il met en état de grossesse cette élève âgée de 18 ans et, lui demanda d’être taciturne. En ce moment, la grossesse avait déjà trois mois.

Deux mois plus tard, c’est le tour de l’étudiante qui est mise dans la même barque que sa sœur et sa mère. Alors qu’à cet instant, leur maman gardait une grossesse de 8 mois. Jusque là, ni la mère ni les deux sœurs ne savaient pas que c’est le même phallus qui les gère, les nourrit sur le plan de l’amour et les engrosse. Il a fallu le déclenchement des maladies chez l’étudiante qui a un organisme très faible, pour que la vérité s’éclate. Les deux sœurs ont avoué à leur mère que c’est son amant l’auteur de leur grossesse. Après avoir créé cet embrouillamini, le pervers J. D. affectueusement appelé “T au cube“ c’est-à-dire « tout trou est trou » a réuni cette famille dont il s’est baladé entre les cuisse, pour leur signifier qu’il ne peut pas la lâcher. Certainement qu’il sait ce qu’il trouve dans ces “jupons“.

Hugues AHO / ouvelles Mutations

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8 avril 2011 5 08 /04 /avril /2011 12:25

poteau-electrique.jpgOn n’en dira jamais assez sur les risques liés au trafic des installations du réseau électrique de la SBEE. Un jeune homme de 22ans vient encore d’en faire les frais  dans la journée du 05 Avril à Abomey-calavi.

Il répondait au nom de Rodrigue LOKO et était élève au CEG2 d’Abomey-calavi. A l’âge de 22ans, son existence fera désormais partir du passé. Et pour cause, ce jeune homme aurait tenté de trafiquer les installations électriques de son agglomération et aurait subit une lourde décharge électrique qui l’a expédié dans l’au-delà, suite à une mauvaise manipulation de sa part. Sa famille proche serait très abattu et le corps inhumé dans la même journée. A l’instar de celle-ci, il est à rappeler que de telle pratiques sont devenues très récurrentes dans le pays, et ceci témoigne bien de la pauvreté qui sévi au sein de la population et aussi du besoin vital qu’est devenu l’énergie électrique aujourd’hui. Les responsables de la SBEE voudront donc bien faire diligence pour aider les citoyens, mais les autorités locales aussi devraient quant à elle prendre des dispositions pour décourager de tels comportements afin d’épargner à l’avenir aux parents d’aussi grandes amertumes.

Luckats LANI-YONOU / Le Télégramme

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5 avril 2011 2 05 /04 /avril /2011 09:47

Homme-wc.jpgLa plage Fidjrossè à Cotonou n’accueille plus uniquement des personnes en quête de détente ou de distraction. Les défécations humaines y règnent aussi en maîtres. Un peu comme, si ce lieu de prédilection était devenu une vaste toilette publique. Cocotiers, tentes, bistrots…. la plage de Fidjrossè a tout d’un cadre agréable pour une  partie de distraction  entre amis ou même en famille. Un immense espace magnifique qui s’offre à divers loisirs.

Surtout quand le tout est couronné d’une brise glacée de marais, altérant ainsi l’atmosphère quand la chaleur a atteint son paroxysme. Reste que depuis quelques années, cette plage qui draine toujours grand monde et un site touristique par excellence est  transformé aujourd’hui en une vaste  toilette en plein air, à l’indignation générale des uns et des autres.  En effet, il est  désormais impossible de parcourir quelques mètres sur cette plage, sans s’étouffer des odeurs nauséabonde ou de se voir même entraver la marche par des défécations ça et là, empêchant les visiteurs de se détendre comme ils le souhaitent. Les auteurs de ces actes seraient des délinquants et des populations locales  qui n’hésitent pas à plonger ce bel espace dans un état presqu’alarmant dèsque le crépuscule chassé le jour. Toutefois,  on note la présence, en  ces lieux, de  quelques toilettes publiques au prix forfaitaire de 50 FCFA seulement. Mais qui ne sont utilisés que par une infime portion de personnes qui savent encore ce que signifie le bon sens. Des patrouilles policières qui s’observent sur cette plage  semblent ne pas en faire une préoccupation, alors que le phénomène est sans cesse grandissant. Comment comprendre que cette situation perdure, sachant bien que des pratiques ignobles de ce genre sont des délits graves vis-à-vis de la loi ?

 Il y a  lieu d’interpeller les autorités en charge de l’environnement et même de la ville, de cotonou à prendre des mesures drastiques pour réprimander ces attitudes qui polluent l’environnement et ternissent l’image de la ville. Des  mesures doivent être également  prises pour renforcer la surveillance  sur cette plage. Cela,  afin de garantir un cadre sain, agréable et un  climat de sérénité à tous ceux qui fréquentent ce lieu.

Kevin Ch. Andoucka / La Nouvelle Tribune

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4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 12:04

Viol-de-fille.jpgC’est à la faveur de leur traditionnelle patrouille nocturne que des militaires  ont interpellé une jeune dame, serveuse dans un bar et qui n’avait pas certainement sa carte d’identité. Ils l’ont donc embarqué dans leur véhicule au niveau du passage à niveau de Houéyiho à bord de leur pick-up. Selon les déclarations de la jeune fille, c’est depuis le véhicule que les militaires ont commencé par faire des attouchements sur elle. C’est donc les militaires qui étaient derrière le véhicule qui ont commencé usant du trafic d’influence. Sans aucune défense et sous la menace de ses militaires, la jeune fille a dû se laisser faire contre la promesse de ne pas passer la nuit au poste. Ainsi, un a un, ils sont passés derrière le véhicule pour assouvir leur vilain libido. Délaissant certainement la patrouille au profit du sexe, ils ont échoué au Ceg Godomey où ils ont proprement abusé d’elle. A la fin de l’acte, ils lui auraient remis 200F pour prendre zem et rentrer à la maison. Le lendemain, la fille a raconté sa mésaventure à son patron qui l’a aidé à porter plainte. Aussitôt, la brigade de recherche a entrepris les recherches dans le but de retrouver ses obsédés sexuels ambulants. De reconstitution en reconstitution, les 17 mis en cause ont été interpellés. Il s’agit de :
1-Maréchal de logis François Amouzoun
2- Soldat de 2ème classe Mensah Amouzoun
3- François Comlan Minboukin
4- Jean Joël Hlannon
5- Lookman Adjakpan
6-    Richard Makon
7-    Gérard FAGLA
8-    Hyacinthe Dangbénon
9-    Marcel Zinsou
10-    Prudence Gbognigbé
11-    Horacio Agboton
12-    Julien Ayégbé
13-    Seibou Djidé Abdou
14-    Gildas Kakpo
15-    David Mousé
16-    Noël Djèmin
17-    Ferdinand Allissou
Retrouvés, ils ont subi l’interrogatoire et un procès verbal a été fait pour les déférer devant le procureur de la République. Au terme de leur audition, ils ont tous été placé sous mandat de dépôt et déposés à la prison civile de Cotonou. La plupart de ces jeunes militaires font partie des jeunes recrues de l’armée.

Sagbé Aho / Le Télégramme

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