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7 septembre 2015 1 07 /09 /septembre /2015 11:05

L’ancien premier ministre Pascal Irenée Koupaki devrait gagner haut la main la prochaine présidentielle. Du moins, c’est bien la réalité issue du sondage fait par votre journal « Matin Libre» sur son site internet.

A 6 mois de la présidentielle, « Matin Libre» a décidé de peser ce que valent les potentiels candidats. Elle a entrepris, pour ce faire, un sondage sur son site internet, wwwmatinlibre.com. A la date d’hier dimanche 06 septembre 2015, les résultats  donnent  une large avancée au présidentiable Pascal Irenée Koupaki (Photo)sur ses 57 potentiels concurrents identifiés par votre journal. L’ancien Premier ministre est crédité de 51,9 % loin devant Patrice Talon qui obtient, lui, 11, 4%.  Abdoulaye Bio Tchané occupe la 3ème place avec 7,1%. Il est suivi de l’actuel Premier ministre Lionel Zinsou qui a convaincu 5,9% des internautes. C’est donc indéniable. Pascal Irenée Koupaki a le vent en poupe. L’environnement politique lui est visiblement favorable. Et pourrait bel et bien faire un exploit en peaufinant davantage sa stratégie de persuasion pendant qu’il est encore temps. Certes à 6 mois de la présidentielle, rien n’est définitivement acquis. Seulement, le sondage de « Matin Libre» révèle une information déterminante qui influencera à coup sûr le processus électoral prochain. (Lisez tous les résultats sur wwwmatinlibre.com et participez au sondage qui se poursuit sur le site en votant pour le candidat de votre choix).

Mike MAHOUNA / Matin Libre

Sondage « Matin Libre» sur la présidentielle de 2016: Pascal Irenée Koupaki, le favori
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31 août 2015 1 31 /08 /août /2015 14:26

Qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas, le parcours d’Eric Adja ne saurait laisser indifférent tout observateur objectif de l’évolution de la jeune génération béninoise, à tel point que Boni Yayi a dit de lui à la face du monde, au cours de la Table Ronde de Paris en Juin 2014, qu’il avait été l’un des jeunes les plus dynamiques du cabinet présidentiel.

Si l’intention et le projet de Boni Yayi de transmettre le témoin à un jeune Président de la République le 06 Avril 2016 se confirment dans les prochains jours et semaines, alors Eric Adja pourrait s’avérer un prétendant sérieux et crédible de la nouvelle génération, qui représente plus de 60% de la population et peut légitimement et démocratiquement aspirer à diriger le pays.

En effet, très engagé aux côtés du Président Boni Yayi lors de son premier mandat, Eric Adja, actuel Directeur de la Francophonie Numérique à l’OIF, est resté discret depuis quelques années, du fait de ses éminentes fonctions internationales. Et si c’était lui, le dauphin idéal capable de préserver au mieux les acquis de Boni Yayi ? Et pour cause. Malgré sa discrétion, le parcours et le profil de cet ancien Président de la Fédération Nationale des Etudiants du Bénin présente une triple légitimité sur laquelle Boni Yayi pourrait s’appuyer, à en croire les dernières nouvelles.

Une légitimité politique

Eric Adja fait partie des jeunes qui ont cru en Boni Yayi, dès le début de son aventure politique et l’ont accompagné pour son élection en 2006 et sa réélection en 2011. Contrairement aux ouvriers de la dernière heure, Eric Adja figure en bonne place parmi les jeunes ayant activement mouillé le maillot et dont le peuple Béninois peut témoigner de la loyauté et de la légitimité sur le terrain. En effet n’ayant jamais été nommé Ministre malgré ses états de service indéniables, Eric Adja est resté loyal envers son mentor Boni Yayi, qui l’a nommé en 2007 Assistant du Président de la République, avec rang de Conseiller Technique, un signe de confiance très important de la part d’un Chef d’Etat.

En tant que membre de la coordination nationale des FCBE, Eric Adja s’est investi dans la supervision de la coordination communale des cauris à Toffo et a réussi à se faire élire Conseiller Communal et Chef d’Arrondissement de Sèhouè en 2008. Candidat aux élections législatives de 2007 sur la liste FCBE de la 5ème Circonscription Electorale, Eric Adja s’est également activement investi dans la création de l’alliance Union pour le Bénin (UB), que préside actuellement l’Honorable Lucien Houngnibo d’Allada et a travaillé avec plusieurs leaders de diverses formations politiques de la mouvance, de toutes les régions du pays. Par ailleurs, le fait d’être de l’Atlantique et originaire des collines pourrait constituer pour Eric Adja un atout politique en termes de promotion et de garantie de l’unité nationale.

Une légitimité vis-à-vis de la jeunesse

Auprès de Boni Yayi, Eric Adja était en charge notamment de la communication, de l’emploi des jeunes et de la diaspora. A ce titre, il a présidé le comité de suivi des recommandations du Forum National des Jeunes du Bénin (FONAJEB) et à la relance définitive de l’Organe Consultatif de la Jeunesse (OCJ), dont les actuels dirigeants reconnaissent le rôle décisif joué par le Conseiller Eric Adja. Par ailleurs, avec d’autres jeunes leaders, il a contribué activement à la naissance et à l’animation de l’Union des Jeunes de la Majorité Présidentielle (UJMP) et du Cadre de Concertation des Jeunes de la Majorité Présidentielle (CCJMP).

En effet, peu de jeunes leaders béninois se sont autant investis aux côtés des jeunes, pour défendre et illustrer la vision du Président en faveur de la jeunesse, par la formation, la motivation, l’appui à la recherche de financement, de bourses d’études, d’opportunités d’emplois, etc. Les Béninois se souviennent par exemple de sa participation exceptionnelle aux côtés de milliers de jeunes de tout le pays, au Service militaire d’intérêt national au Camp militaire de Ouidah, alors qu’il était encore en fonction à la Présidence de la République.

En résumé, le parcours d’Eric Adja s’est déroulé pratiquement sous nos yeux, gravissant progressivement les échelles et reconnu par beaucoup de jeunes de sa génération et de toutes origines du pays, qui peuvent bien s’identifier à lui.

Une légitimité internationale

Grâce à l’appui du Président Boni Yayi et à la bonne image du Bénin sur la scène internationale, Eric Adja occupe actuellement l’un des postes les plus élevés d’un Béninois dans les organisations internationales, celui de Directeur de la Francophonie Numérique. Auparavant, avec le soutien de la diplomatie béninoise, Eric Adja a dirigé l’Observatoire International des Transferts de Fonds des Migrants des Pays les Moins Avancés (OITFM-PMA), institution rattachée au bureau de coordination des PMA auprès des Nations Unies à New York. Ces fonctions et expériences pourraient permettre à l’intéressé de se revendiquer d’un important carnet d’adresses sur le plan international et qu’il pourrait mettre au service du Bénin, sans oublier ses importantes connexions dans les pays où il a vécu ou travaillé, notamment en Afrique et en Europe.

Cette triple légitimité que nous découvrons chez Eric Adja n’est pas dénuée de sérieux et d’intérêt pour Boni Yayi, en quête d’un dauphinat jeune, crédible et légitime, sans oublier la proximité des deux hommes sur le terrain des Eglises évangéliques, dont le soutien ne sera pas négligeable pour l’élection du Président de la République.

Source: Tite Widedji / Journal Bonne Nouvelle  

PRESIDENTIELLES 2015 : Et si le Dr Eric ADJA répondait à l’appel du peuple ?
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31 août 2015 1 31 /08 /août /2015 14:21

L’avocat Lionel Agbo, président du Congrès africain des démocrates (Cad) est plus que jamais préoccupé par le fonctionnement normal des institutions de la République, tel qu’elles ont été conçues par  la Conférence nationale des forces vives de la nation de février 1990. A  la faveur du 3ème congrès statutaire du CAD tenu le samedi 29 août 2015 à la salle de fête « Hortenzias», il a fait de grandes propositions dans  ce sens. Paraphrasant, le président Barack Obama qui  a affirmé que l’Afrique a besoin d’institutions fortes et non d’hommes forts, il a  fustigé le fait que sur les sept membres de la Cour constitutionnelle, quatre  reviennent au choix du Gouvernement, dont le chef fait élire celui qu’il a choisi comme président de l’institution. Il se désole également que d’autres institutions comme  la Cour constitutionnelle, la Haac, le Conseil économique et social (CES) soient logées à la même enseigne. « Comment ne pas comprendre  alors les décisions plus que surprenantes rendues par celles-ci ou les comportements plus qu’indignes de certains ? », s’interroge Lionel Agbo. Prenant, par ailleurs, le cas de la Haute cour de justice,  il a souhaité  que l’on confère  à cette dernière la prérogative d’auto-saisine pour « éviter de laisser aux députés seuls, le soin et la volonté de manipuler à leur guise et au gré de leurs intérêts les demandes de levée d’immunité, notamment, de l’un des leurs ou la traduction d’un ministre devant elle ». Dans cette alternative, le CAD, selon son président, adhère à une révision profonde de la Constitution par le prochain président de 2016, « sans opportunisme toutefois ». Il affirme également ne pas passer sous silence les réformes politiques nécessaires  pour éviter la floraison de partis et « réserver de ce fait la sphère politique aux politiciens ».

 Me Lionel Agbo  a évoqué,  par ailleurs, l’article 42 de la constitution qui stipule que « le président de la République est élu au suffrage universel direct pour un mandat de  cinq ans, renouvelable une seule fois ». A ce sujet,  il suggère plutôt un mandat unique de sept ans. Et ceci, « sans aucune possibilité de renouvellement, en prenant toutefois les dispositions requises afin que, dans l’hypothèse où le président élu dans ce contexte ne serait pas apte à diriger le pays, qu’il puisse être destitué par l’Assemblée nationale dans les formes qu’il conviendra de fixer ultérieurement».

 Le président du Cad se préoccupe également de la présidentielle 2016, et dit craindre que « le vote des électeurs ne se résume qu’aux espèces sonnantes et trébuchantes, et dans une vision prospective, ne nous impose un homme incapable de résoudre les nombreux défis auxquels sera confronté notre pays.» A cet égard, il appelle à «un regroupement des forces politiques, et pourquoi pas à des primaires au sein de ces regroupements pour dégager trois ou quatre  candidats et éviter ainsi une kyrielle de candidatures sans projets de société viables». Dans le cas contraire, le Cad entend faire tenir sa position en son temps.

 Christian TCHANOU / L'Evénement Précis

En perspective de la révision de la constitution: Lionel Agbo plaide pour un mandat unique de 7 ans
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31 août 2015 1 31 /08 /août /2015 14:10

Alors qu’il l’avait annoncée depuis des mois et avait amorcé d’intenses préparatifs dans ce sens, le professeur Joseph Djogbénou, député à l’Assemblée nationale, n’envisage plus  aujourd’hui d’être candidat  à l’élection présidentielle de 2016. Il l’a affirmé hier sur l’émission « Zone Franche » de Canal 3 dont il était l’invité.  Il préfère travailler pour un autre auquel il ne cache plus son admiration : Patrice Talon. « Je ne suis plus candidat d’autant plus que Patrice Talon sera candidat », a-t-il justifié. Il déclare  être dans l’économie des réflexions et actions qui se multiplient pour concrétiser et faire prospérer la candidature de  Patrice Talon, qui d’ailleurs, pour lui, ne fait plus l’ombre d’aucun doute. « A tout point de vue, Talon remplit  aujourd’hui, les conditions  pour être président de la république », se rassure également l’invité de Canal 3. « La concertation  au profit de  Talon est approfondie et assez avancée », a aussi révélé  le professeur Djogbénou qui précise cependant que « nous ne sommes pas en train de rechercher un homme,  mais un groupe, un projet avant la présidentielle 2016 ». Et il se dit persuadé que les partis politiques  préparent déjà leurs réponses aux propositions de Patrice Talon. Au nombre desdites propositions,  l’invité soutient celle ayant trait au mandat unique, estimant que cela est devenu une nécessité aujourd’hui. «Quelle que soit la durée, le mandat unique est la solution  pour les pays qui aspirent  à la construction de l’Etat », croit savoir  le professeur Djogbénou. « Ce n’est peut-être pas la solution idéale, mais, dans l’état actuel de notre développement, elle est une solution responsable », a-t-il souligné. « Si Patrice Talon est élu, il ne fera pas plus  que 5 ans,  même si au cours de son mandat, la constitution  pourrait être amenée à être révisée. Dans tous les cas, celui qui va gérer  le Bénin à partir de 2016, ne doit pas aspirer à un second mandat », a-t-il prévenu.
Entre autres sujets évoqués au cours de cette émission,  le professeur Djogbénou s’est également réjoui du vote de la loi sur  la fonction publique, dont il fut l’un des artisans au parlement.  Le rejet de la demande de l’immunité parlementaire du député Barthélémy Kassa à propos de l’affaire de détournement des fonds du projet PPEA II a été également apprécié par l’invité. Il parle ici d’un « trouble démocratique et d’une démarche suspecte » de la part du Gouvernement  qui a introduit cette demande. « Quand un président de la République qui dispose de quatre groupes parlementaires introduit une demande de levée qui est rejetée, cela me paraît suspect et malsain », a fustigé le professeur Djogbénou.

Christian Tchanou / L'Evénement Précis

Tractations pour la présidentielle 2016: Djogbénou retire sa candidature et appelle à soutenir Talon
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31 août 2015 1 31 /08 /août /2015 13:58

S'il y a une question qui revient souvent aux lèvres des populations lors des différentes sorties de prise de contact de IKN et que l’équipe de jeunes dynamiques l’entourant a jugé utile de partager avec vous, c'est celle-ci: 
 

QUI ÉTAIT Issifou KOGUI N'DOURO AVANT 2006?
C'est une excellente question. En ce sens que la plus part des compatriotes ne l'ont connu que dans cet épisode de sa vie qu'il a passée au gouvernement de Boni YAYI de 2006 à 2013 respectivement comme Ministre d'État chargé de la Défense Nationale puis comme Ministre d'État chargé des affaires présidentielles.
Issifou Kogui N'douro est un géographe de formation. Il s'est spécialisé en aménagement du territoire. Spécialité dans laquelle il a d'ailleurs décroché avec brio son doctorat. Fonctionnaire de son État au ministère de l'agriculture sous le régime révolutionnaire de l'époque, il à occupé plusieurs postes dont celui de DAC avant de s'envoler pour la France comme fonctionnaire international à la francophonie (OIF). Poste qu'il à occupé jusqu'en 2006. La suite vous la connaissez.


QU'A-T-IL FAIT POLITIQUEMENT DURANT CETTE PERIODE?
Au lendemain de la Conférence National des forces vives de la nation, le1er Ministre de l'époque Nicéphor Dieudonné SOGLO avait la lourde responsabilité de mettre sur pied un gouvernement d'union nationale. Il fallait choisir et placer les hommes de façon à en profiter pour les élections de 1991 (pour se faire élire Président de la République). Le 1er Ministre de l'époque lui (IKN) fit appel pour l'aider dans cette délicate mission. Au lieu de se proposer comme beaucoup l'auraient fait, "le sous-marin" fit appel à son tour à:
- Mama Adamou N'DIAYE qui a été nommé Ministre du Développement Rural et de l'Action Coopérative
- Eustache SARE qui a été nommé Ministre des Travaux Publics
- Dramane KARIMOU qui a été nommé Ministre de la Jeunesse, Sports et Loisirs puis Ministre de l'Éducation Nationale
- Théophile NATA qui a été nommé Ministre
"L'homme de l'ombre"a préféré rester Conseiller du 1er ministre de l'époque puis du Président de la République qu'il (NDS) était devenu en1991. Quelques mois plustard, c'est lui qui à proposé un certain Boni YAYI comme conseiller technique, à l'époque, au chef de l'Etat NDS puis après comme Président de la BOAD. Un poste auquel l'homme sera confirmé par la suite par le Général Mathieu KEREKOU contre l'avis d'ailleurs du Ministre des Finances de l'époque en la personne d'Abdoulaye BIO TCHANE ( Origine de la brouille qui existe entre les deux hommes jusqu'à ce jour).
Il faut dire que cette confirmation à ce poste, à été déterminante pour la suite des événements, aussi bien dans la vie du principal concerné (Boni YAYI) que dans celle de son grand frère et ami, Issifou KOGUI N'DOURO.
Tout le monde sait que Boni YAYI s'est fait élire en 2006 grâce à son poste de président de la BOAD. Ce que beaucoup ne savent pas, c'est qu'il à fallu toute une stratégie pour y parvenir! Donc une tête pensante pour piloter tout ça! Un point de départ!
Eh bien mesdames mesdemoiselles et messieurs! C'était encore et toujours lui. "Le sous-marin" l'homme de l'ombre, la force tranquille.
Tout à démarré chez lui à paris. Boni YAYI était passé le voir. Il lui dit à peu près ceci:
- Grand frère. Le Général va bientôt descendre du pouvoir. Je suis venu te proposer de te préparer pour lui succéder.
IKN lui a répondu à peu près ceci:
- c'est plutôt toi que nous allons préparer pour lui succéder vu le poste que tu occupe en ce moment et vu ta proximité avec les chef d'État de la sous-region et du Bénin. À partir de maintenant, tu devras être présent à toutes les "poses de 1ère pierre" et à toutes les "inaugurations d'infrastructures de développement" financées par ton institution au Bénin.
Ce fut le commencement. Ils n'étaient que deux au départ. Peu après, IKN fit venir le docteur Kessilé TCHALA, ami de longue date et membre influant du réseau français de l'homme de l'ombre. Ensemble, ils ont mis en place les 1ères stratégies. IKN a pris son petit frère par la main et l'a présenté partout. Aussi bien aux membre de son réseau français que béninois. Boni YAYI n'avait milité nul part dans aucun parti. Il n'avait donc aucun réseau. Il a fallu tout lui apprendre en cours accéléré pour en faire un Homme d'État. Il l'a amené chez tous les rois du Bénin pour demander leurs bénédictions pour le petit frère. Chez les politiques, les religieux, etc. Partout. Je préfère m'en arrêter là pour le moment.

Voilà un autre rôle non moins important que IKN jouait au gouvernement mais que beaucoup ignorent. Connaisseur connait! 
Il était le vrai MÉDIATEUR de la république. 
Quand je dit connaisseur connait, demandez, pour ceux qui le peuvent, à:
-Adrien HOUNGBEDJI
- Bruno AMOUSSOU
- Nicephor SOGLO
- Salifou ISSA
- Rachidi GBADAMASSI
- Au syndicaliste de votre choix
Demandez leur qui réglait véritablement les problèmes sérieux dans le gouvernement.
Quand toutes les solutions sont trouvées et que tout le monde est d'accord pour signer, l'homme de l'ombre disparaissait et laissait les pros de la com faire venir leur arsenal pour paraître et faire les gros titres à la Une des journaux.
Dans la sous-région, c'est encore et toujours lui.
-Au Tchad: les rebelles et le président DEBI
- En Côte d'Ivoire: le conflit postelectoral
- au Gabon: L'affaire de l'avion présidentiel arrêté à l'aéroport 
- etc.
Voilà un résumé de: "qui est l'Homme d'État Issifou KOGUI N'DOURO"

Le Sous-Marin: Issifou KOGUI NDOURO; Le travailleur de l'ombre qui va enfin passer à la lumière
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31 août 2015 1 31 /08 /août /2015 13:50

Le président Abdoulaye Bio Tchané est préoccupé par la pauvreté en milieu rural. Il a décidé d’apporter un appui concret pour atténuer ce fléau dans les départements du Mono-Couffo, à travers le travail effectué par l’ONG JUDEVA, depuis quelques années.   C’est à travers le lancement à Lokossa, le 28  août 2015, d’un projet de formation des femmes à la transformation du manioc en gari super, tapioca compétitif et en amidon traité. Il est intitulé « Projet de  renforcement des capacités  en  micro entreprenariat des  populations du Mono-Couffo ».  Cette initiative consiste à apprendre à 18.000 femmes, soit 3000  par commune,  à produire du gari super, du tapioca compétitif et de l’amidon traité. Dans ces deux départements, le manioc est cultivé en abondance. C’est une source de richesse mal exploitée par les populations confrontées à la pauvreté. Vadim Vladimir Olou, chef du projet, précise : « Malgré cette richesse importante que constitue le manioc pour ces deux départements, la misère continue de côtoyer la grande masse des femmes. Il est à noter que les femmes refusent parfois de produire du gari et du tapioca, car, ces dérivés, lorsqu’ils sont produits, sont vendus à des prix qui sortent de l’entendement. Philippe Dansou, président de l’ONG    JUDEVA, soutient que l’expérience est concluante dans le département du Couffo.   C’est la raison pour laquelle, son ONG a décidé de l’étendre au Mono pour aider à lutter contre la pauvreté en milieu rural. « Nous avons lancé ce projet à Aplahoué en 2011, indique Philippe Dansou. Aujourd’hui, nous avons formé 18.000 femmes dans le Couffo, gratuitement. Et le coût de la formation a été évalué à 17.580.000 FCFA, soit 2.930.000 F par commune. Ce coût est de l’initiative des membres de l’ONG   JUDEVA. Devant les autorités locales, les têtes couronnées et les femmes bénéficiaires, le parrain de l’événement, Abdoulaye Bio Tchané, promet d’appuyer cette initiative. Elle va permettre de faire des bénéficiaires    des entrepreneurs agricoles capables de générer des revenus financiers et de créer des emplois. « Notre soutien à cette initiative de JUDEVA va recouvrir le soutien à la formation, le don d’équipement à ces associations de femmes et le soutien au  crédit à ces femmes pour accroitre leurs capacités de production et de commercialisation », souligne Abdoulaye Bio Tchané. Selon lui, le Bénin doit passer d’une agriculture de subsistance à une agriculture commerciale. C’est pourquoi, il appuie les actions de développement allant dans cette direction. Il poursuit alors : « Le défi qui vous est lancé aujourd’hui, c’est de passer d’une agriculture de subsistance à une agriculture commerciale. C’est-à-dire de produire de façon intelligente, de maîtriser les aléas climatiques, afin d’aller vers une production de masse et vers une production commerciale. Et moi je rêve pour notre pays le Bénin, du jour où nous pourrons, nous Béninois, nourrir tous les Nigérians. Je vous assure qu’ensemble nous pouvons le faire. »

Wandji A. / L'Evénement Précis

Développement local: Bio Tchané soulage les femmes du Mono-Couffo
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31 août 2015 1 31 /08 /août /2015 13:09

Désormais, moins de six mois séparent les électeurs du premier tour du scrutin présidentiel du 28 février 2016. Mais curieusement, au sein des états-majors des partis politiques traditionnels, tout se passe comme si on n’est pas concerné par le renouvellement du mandat présidentiel. Alors qu’ils ont travaillé à décourager toute velléité de maintien au pouvoir, paradoxalement, Adrien Houngbédji, Bruno Amoussou, Séfou Fagbohoun, Lazare Sèhouéto, Antoine Idji Kolawolé, Severin Adjovi sont à peine intéressés par la succession de  Yayi Boni dans le fauteuil présidentiel.

Chaque scrutin présidentiel avec sa particularité. Alors que celui en vue consacre le départ du locataire actuel, dans les rangs des formations politiques habituées des grandes joutes électorales, silence radio. Lorsque, pour finir par donner une des preuves de sa bonne foi, le chef de l’Etat a convoqué de manière précoce le corps électoral, on croyait que la précampagne allait très tôt donner des couleurs. Mais erreur, les leaders des partis politiques donnent leur langue au chat. Cela peut se comprendre. Bien évidemment, vu le vieillissement de la classe politique et surtout le fait que certains leaders s’y accrochent…

Le Prd repousse le débat à octobre

Sur l’échiquier politique national, le parti politique le plus représentatif aujourd’hui est le Parti du renouveau démocratique (Prd). Aux législatives, puis aux communales de cette année, ce parti a été le plus grand gagnant. Malgré ses bonnes performances qui démontrent clairement qu’on ne peut régler la question de la présidentielle sans sa bénédiction, ce parti  peine à désigner un candidat. On sait que le leader, aujourd’hui deuxième personnalité de l’Etat est forclos. Le comble est qu’il continue de diriger le parti. Les choses auraient été plus simples s’il avait travaillé à sa succession à la tête du Prd. Mais il refuse de lâcher du lest. Au nom d’une certaine cohésion. On parle de la peur de l’implosion de l’intérieur. Qu’à cela ne tienne. Mais on soupçonne aussi la crainte de perte de légitimité, au cas où, un autre baron du parti émergerait jusqu’à défendre les couleurs arc-en-ciel en février prochain.

Alors que certains ont tôt fait d’affirmer que le Prd se prononcerait la mi-août par rapport à la présidentielle, finalement, les militants doivent prendre leur mal en patience, d’ici octobre, à l’occasion de son université de vacances. Quoiqu’en soit la formule retenue, c’est-à-dire un candidat à l’interne ou le soutien à un autre candidat, la période de trois mois parait bien insuffisante pour le ralliement de tous les militants et sympathisants. Car, quelles que soient les options, nul doute, qu’il y aura des poches de résistance. Au-delà des rebelles naturels, il en aura qui doivent avoir de bonnes raisons de contester le choix du parti. Déjà, le probable candidat du parti ne pourra jamais être à la fois Gun et Yoruba ; une question très sensible au sein de cette formation politique. De même, l’option du soutien à un autre candidat pourrait aussi être source de rébellion.

Primo, il faudra réussir à maintenir la cohésion au sein du Prd en contenant les barons qui tiendront à une candidature au sein du Prd ; ensuite, dans les rangs de ceux qui sont favorables au soutien à un candidat non Prd, le parti risque de perdre des plumes sur la question des préférences. Il y aura ceux qui vont préférer Patrice Talon ; d’autres opteront pour le candidat de l’Union fait la Nation ; d’autres encore pour le candidat du parti au pouvoir ou à Pascal Irenée Koupaki; sans oublier la vague des militants qui jetteront leur dévolu sur des outsiders pour une raison ou pour une autre et surtout des têtes de pont du parti qui auraient des deals avec le Général Gbian, ou Abt.

L’Union fait la Nation montre ses limites

Si la plupart des Béninois commencent par afficher des signes de lassitude du fait de l’émiettement de l’espace politique, la naissance du regroupement Union fait la Nation paraissait porteuse d’espoir. Mais cet espoir semble s’effriter de jour en jour. Après les départs successifs du Prd, puis de la Rb, ce qui reste de ce regroupement hétéroclite n’arrive pas à afficher ses ambitions par rapport à cet important rendez-vous électoral. Un laconique communiqué pour affirmer que les textes de l’Union interdisent le soutien à un candidat copté. Drôle de textes qui n’ont pas fait pareille interdiction pour les législatives et les communales. Et welcome à l’Un pour les « mercenaires politiques » Candide Azanaï, Joseph Djogbénou, Claudine Prudencio…

Impossibilité de transcender les difficultés qui empêchent de choisir entre Eric Houndété et Emmanuel Golou. Dans quel regroupement sérieux il n’est pas possible de connaître le candidat à moins de 6 mois du scrutin présidentiel? Une élection de ce type se prépare des années à l’avance. Et le programme d’action ? Sera-t-il celui du candidat ou un programme de l’Union ? Et si on ne connait pas encore le candidat, la question du financement de la campagne reste donc entière pendant que d’autres challengers ont déjà leur budget prêt. Ici aussi, la question du vieillissement reste un obstacle à l’épanouissement de l’Union. Car la figure emblématique de ce qui reste de l’Union Bruno Amoussou  est aussi forclos, même s’il est « à midi de sa vie politique… ». Les enjambements qui permettent de quitter la tête du parti pour se hisser à la tête  du regroupement politique contenant, entre autres, le même parti  ne sont pas de nature à faciliter les choses pour le successeur. Par ailleurs, il se chuchote que la plupart des ténors de l’Un ont déjà béni la candidature de Patrice Talon. Ce qui ne saurait être pris pour une vérité d’évangile dans la mesure où leur communiqué a été on ne peut plus clair. Au Bénin, la politique a ses méandres. L’essentiel est que les ténors de l’Un ne donnent raison à Désiré Vodonou.

La succession, un casse-tête chez les partisans du pouvoir

Depuis le 6 avril 2011, Yayi Boni savait que son mandat finissait en 2016. Cette évidence ne lui a pas permis de commencer par travailler très tôt à sa succession. Pendant longtemps, il a multiplié les incantations pour forcer la révision de la Constitution. Celle-ci, n’étant plus d’actualité, il faut faire preuve aujourd’hui de réalisme. Mais qui pour porter les couleurs des cauris ?

Sur Rfi lundi dernier, Christophe Boisabouvier a évoqué l’éventualité de la candidature de l’actuel 1er ministre, Lionel Zinsou. D’autres candidatures solitaires s’annoncent au sein des Cauris, comme celle du vice 1er ministre Abiola, l’Honorable Aké Natondé. La polémiqueuse décision rendue récemment par la Cour constitutionnelle semble favoriser d’autres candidatures au sein des Fcbe. Mais rien n’est sûr pour le moment. Le temps presse et les partisans de  Yayi Boni  ne savent pas la conduite à tenir par rapport à la question de la succession. Il y a quelques semaines, le chef de file de la mouvance au pouvoir aurait confié à quelques 5 ténors de réfléchir à lui faire des propositions. La rencontre élargie de la nuit du mercredi dernier présidée par Yayi Boni n’a pas encore tranché la question de la candidature. Dans tous les cas, les Fcbe auront un candidat en leur sein. Avec aussi le risque d’implosion. Car, ce n’est pas évident que tous se rallient au candidat désigné.  Cette mouvance étant trop hétéroclite.

Finalement, au titre des partis politiques influents et traditionnels, seule la Renaissance du Bénin a annoncé les couleurs dans le cadre de la présidentielle. Patrice Talon parlait d’une large consultation de la classe politique avant de prendre sa décision. Mais il ne réussira certainement pas à faire plier le président de la Rb, Léhady Soglo qui a déjà peaufiné sa stratégie de conquête du pouvoir. Même si tous donnent rendez-vous pour octobre afin de fixer les militants, Me Joseph Djogbénou et Alternative citoyenne ont déjà opté pour le probable candidat Patrice Talon.

Pascal Irenée Koupaki, même s’il était comme un complice de Patrice Talon continue par tenter l’occupation du terrain comme si de rien n’était.

Quant aux leaders traditionnels Adrien Houngbédji, Bruno Amoussou, Séfou Fagbohoun, Lazare Sèhouéto, Antoine Idji Kolawolé, Severin Adjovi, en dehors de  Léhady Soglo, tous se sont mués dans un silence de cimetière, qui semble confirmer la rumeur selon laquelle la plupart d’entre eux ont déjà donné leur accord de principe pour un soutien à la probable candidature de Patrice Talon.

 Franck Kpochémè / Quotidien Matin Libre

Présidentielle 2016: Les leaders des partis politiques bégaient (Houngbédji, Amoussou, Sèhouéto, Kolawolé donnent leur langue au chat)
Présidentielle 2016: Les leaders des partis politiques bégaient (Houngbédji, Amoussou, Sèhouéto, Kolawolé donnent leur langue au chat)
Présidentielle 2016: Les leaders des partis politiques bégaient (Houngbédji, Amoussou, Sèhouéto, Kolawolé donnent leur langue au chat)
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22 juin 2015 1 22 /06 /juin /2015 13:24

La confirmation au Gouvernement de 5 des 13 ministres élus députés à l’issue du scrutin législatif du 26 avril 2015 ouvre la porte de l’Assemblée nationale à leurs suppléants. Ainsi, Garba Yaya, suppléant du ministre de la défense nationale, Théophile Yarou sur la liste FCBE dans la 7ème circonscription électorale, Léon Degny, suppléant du ministre de l’Economie et des Finances sur la liste FCBE dans la 9ème circonscription et Youssouf Bida Nouhoum, suppléant du ministre chargé de l’enseignement secondaire siègeront dès ce jour au parlement en leurs lieux et places. Il en est de même pour Joseph Bamigbadé, suppléant du ministre d’Etat en charge de l’enseignement supérieur, François Adébayo Abiola et Allagbé Marie Couassi, suppléante du ministre des Travaux publics, Gustave Dékpo Sonon sur la liste FCBE dans la 24ème circonscription électorale. Selon des sources proches du palais des gouverneurs, l’Assemblée nationale leur a même déjà adressé une invitation à siéger. Avant même la formation du Gouvernement le jeudi 18 juin 2015, les ministres élus députés face à la contrainte de choisir entre rester au Parlement ou au Gouvernement s’étaient déjà décidés. Hormis Barthélémy Kassa qui, avant même les élections, avait déjà donné sa démission du Gouvernement, seuls François Abiola et Komi Koutché ont eu le courage de démissionner de l’Assemblée nationale pour se mettre à la disposition du chef de l’Etat. Les dix autres ont préféré siéger au parlement en donnant leur démission du Gouvernement. Il s’agit de Nassirou Bako Arifari des Affaires étrangères, Théophile Yarou de la Défense nationale, Eric Kouagou N’dah des Enseignements maternel et primaire, Valentin Djènontin de la Justice, Marcel de Souza du Développement, Alassane Soumanou Djimba de l’Enseignement secondaire, Simplice Dossou Codjo de l’Intérieur, Jean-Michel Abimbola de la Culture, Natondé Aké des Travaux publics et Gustave Sonon chargé des Relations avec les Institutions. Mais trois d’entre eux ont encore trouvé grâce auprès du président Boni Yayi qui les a rappelés. Au nombre de ceux-ci, il y a Alassane Soumanou Djimba promu ministre d’Etat en charge de l’enseignement secondaire, Théophile Yarou maintenu à la défense nationale et Gustave Sonon qui succède à Aké Natondé au Ministère des travaux publics et des transports.

Hugues E. PATINVOH / L'Evénement Précis

Confirmation au Gouvernement des ministres élus: 5 suppléants de ministres siègent au Parlement dès ce jour
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